Retour aux affaires đŸ”±â›”ïž

Manoir a repris la mer. « Enfin !!! » diront certains


Bon, pour ĂȘtre honnĂȘtes, notre vaisseau prĂ©fĂ©rĂ© est dĂ©jĂ  un peu sorti dĂ©but et fin mai, notamment pour une troisiĂšme participation Ă  la Porquerolle’s cup (dont il faudra bien que je vous parle un jour, mais ce sont des we tellement chargĂ©s
😎)

Mais le capitaine a eu un hiver assez chargĂ©. AprĂšs la remise en Ă©tat du bateau l’hiver prĂ©cĂ©dent, cette fois-ci c’est la partie mĂ©canique du bonhomme qui a subi un grand carĂ©nage. Que voulez-vous, tout s’use


Mais trĂšve de digressions, et revenons Ă  nos navigations. Manoir a donc quittĂ© son port de coeur Ă  Saint-Mandrier dĂ©but juillet pour un petit pĂ©riple de 2 mois cĂŽtĂ© Sardaigne, Sicile et plus si affinitĂ©s. L’idĂ©e est d’eviter la Corse (que nous connaissons bien), et de dĂ©couvrir de nouveaux terrains de jeu. Mais y a le plan
 et puis la vie


Quelques jours avant de partir, Cathy apprend qu’une amie d’enfance (de petite enfance, si vous voyez de que je veux dire
), est en Corse. Plus prĂ©cisĂ©ment Ă  Porto Vecchio. Elles ne se sont pas vues depuis prĂšs de 20 ans, mais on n’a qu’une vie, hein?


Ni une, ni deux, Manoir (qui sort de carĂ©nage et glisse sur l’eau) allonge la foulĂ©e dĂšs le dĂ©part et nous amĂšne en 36 heures au mouillage face Ă  la marina de Porto Vecchio; avec un passage des bouches de Bonnifacio au portant sous 23 nds, tout dehors. Une bonne mise en jambes.

Le soir mĂȘme, ce sont les retrouvailles des 2 fillettes autour de mojitos et de « punch marseillais ».

Les 2 journĂ©es suivantes sont pour nos amis l’occasion de dĂ©couvrir la voile dns le cadre privilĂ©gie de cette baie.

Comme il n’est pas de compagnie agrĂ©able qui ne se quitte, Nad et Christian ont rejoint la mĂ©tropole. De notre cĂŽtĂ©, aprĂšs avoir rĂ©cupĂ©rĂ© notre moteur d’annexe dont la turbine Ă©tait morte (rĂ©visĂ©e cet hiver đŸ€”), nous nous sommes dirigĂ©s
 vers Bonifacio. Ben oui, c’est la seule ville que nous n’avions jamais pu visiter; aprĂšs l’accueil Ă©pouvantable que nous avions vĂ©cu en 2012, nous Ă©tions restĂ©s sur une salle impression. Mais bon, y a que les cons qui changent pas d’avis


Ceci dit, Ă  130€ la nuit, et pour avoir le plaisir de voir tous les touristes prendre leur cafĂ© au cul du bateau, nous avons prĂ©fĂ©rĂ© la cala di Paragnanu, distante de 2 miles du port. La mer paisible nous a permis de rejoindre le port en annexe (avec un moteur qui marche, c’est mieux
).

Au passage, dĂ©couverte de la grotte Ă  l’entrĂ©e du port. Vrai, ça vaut le dĂ©tour, surtout que nous, on peut entrer Ă  l’interieur
 pas les bateaux touristiques. 😜

Nous avons ensuite enfin pu visiter la citadelle. Franchement, ça valait la peine d’insister et de retourner tenter notre chance. AprĂšs une petite grimpette (Ă  faire pas trop tard dans la journĂ©e, avant la chaleur), les petites rues sont trĂšs sympathiques. Beaucoup de restaus et de boutiques Ă  souvenirs, mais ça reste agrĂ©able Ă  visiter et la table choisie fut tout Ă  fait convenable. Et, ce qui n’est pas Ă  nĂ©gliger, l’étroitesse des rues permet de garder une certaine fraicheur associĂ©e Ă  quelques courants d’air.

Au passage, une petite visite dans une cave (on ne se refait pas
), et Manoir à un petit vin de figue au frigo.

Pour finir, retour sur Manoir au mouillage, et inspection des environs avec le concours de moustique, qui a déjà repris du service.

Admirez la piscine à débordement au-dessus de notre mouillage.
La cala voisine
 pas large
 đŸ€”

A trùs bientît pour la suite


Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *