Où en étions-nous déjà? Ha oui, nous venions de quitter la baie de Porto Conte et la Foradada…
Nous avons poursuivi nos pérégrinations par un mouillage au Nord d’Alghero. Sympa mais pas exceptionnel, vous ne le verrez donc pas. D’autant qu’un bateau « boite de night » nous a abreuvés de ses décibels jusque tard dans la nuit… dimanche soir…
Le lendemain, étape à Alghéro pour un ravitaillement hebdomadaire. on arrive en annexe et la citée fortifiée n’est pas vilaine…
Bon, ok, mais nous on a des lessives et puis on part aux courses. Au passage, on trouve des vins locaux vraiment pas chers……… Mais comme dit Lolo, faut faire gaffe; à ce prix, y a des risques.
On revient chargés comme des baudets, avec 3 pots de gelati (ben oui, il y a un congel à bord…)
En marchant (vite…) dans les rues, on se dit que vraiment, la vieille ville méritait plus d’attention. Et puis il fait chaud (on est au pic de la canicule, et ici, ça veut dire 43 dans les terres), et les terrasses nous font de l’oeil. 🍺
Vous nous connaissez; Ni une, ni quatre: on fonce au bateau, on remplit frigos et congel, on étend les draps, une tête à l’eau pour la rafraîchir et retour en ville pour tester spritz et pâtes. (plus quelques commerces de verroteries…); ce n’est donc que 3 heures plus tard que nous avons repris la mer en longeant les facades de couleur
Escale suivante à Cala Barantinu; encore une très belle crique, avec de beaux rochers (moins proches du bateau toutefois…). L’occasion encore une fois de faire quelques belles images du site… et des habitants.
Et pour finir en beauté, le coucher de soleil découpe au nord la silhouette du cap de neptune
Le lendemain, du fait de notre arrivée un peu tardive à la cala de Porto Managu, nous n’étions pas vraiment certains de trouver de la place. Faut dire que le site est exigu, mais c’était notre jour de chance… et puis surtout, on a osé rentrer…
Comme une image vaut mille mots…
La nuit y fut remarquablement paisible, grâce à une météo de princesse. Et il vaut mieux, parce que dès que le vent se lève, on tourne et on s’approche vite des beaux cailloux… qui sont moins beaux tout d’un coup…🤔
Le lendemain, le vent qui a repris un peu de force nous a motivés à pousser 2 miles plus loin, à cala Sa Codulera. Nous avions approché le site au cours d’une ballade de 2h en paddle et nous n’avons pas été déçus. Un site exceptionnel avec une tour génoise accessible en annexe… pour les musclés… (faut porter l’annexe). 🧎♂️🏋️♀️
Et vu au ras de l’eau, ce n’est pas mal non plus.
Le ravitaillement suivant n’était pas prévu; mais Cathy étant aux prises avec une petite otite persistante, nous avons décidé de faire un stop dans la petite ville de Bosa.
Particularité du site, le port est protégé par une digue éloignée, qui permettrait de mouiller l’ancre bien à l’abri… sauf que c’est interdit. Y a des fois……
Donc mouillage sur la plage à côté de l’entrée de la digue, puis annexe, et pas pour rien, car la ville est en fait à 3km à l’intérieur et il faut remonter la rivière (qui est salée, bien évidemment). l’occasion pour Cathy de reprendre un peu les commandes de l’annexe qu’elle n’avait pas touché depuis trop longtemps.
A terre, on découvre encore une jolie vieille ville en pierre, manifestement,très typique de cette côte sarde.
Du coup, outre la pharmacie, nous avons visité un établissement local spécialisé dans les pâtes et le spritz… on ne se refait pas…
Suite des aventures bientôt, plus au sud… 😘